Dans la première moitié du XXe siècle, le charbon occupe une position de monopole dans le bilan énergétique de la France. Il représente entre les trois quarts et les quatre cinquièmes de l'énergie consommée et cette proportion ne fléchit pas avant 1950. Il est essentiel à la fabrication industrielle, aux transports, au chauffage et à une partie de la chimie.