Et avec elles, ce chagrin immense qui dort en moi et que je ne sais pas arrêter quand il se réveille. Comme les vagues dans lesquelles Baptiste m'emmène et qui me tirent sous l'eau, m'écrasent et m'aspirent à nouveau au moment même où je crois qu'elles me délivrent. Puis me recrachent à demi asphyxié sur la rive, un peu moins vivant ...